N°24 - Autorisation donnée à Monsieur le Maire de vendre une parcelle de terrain située à Malespine cadastrée section A n° 2346, à la SAS DURANCE-GRANULATS Rapporteur Mme Nérini

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Mme NERINI : La commune est propriétaire d’une parcelle de 28 153 m², située lieudit Malespine et pour laquelle la SAS DURANCE-GRANULATS a fait part à la commune de son intérêt d’acquérir ce terrain. Cette parcelle, qu’elle utilise, permet de réaliser un stock de terres inertes, indispensable à la bonne exécution de cette activité essentielle pour l’exploitation du site. Afin de pérenniser les activités de la SAS DURANCE-GRANULATS sur le site de Malespine, il est proposé au Conseil Municipal d’autoriser Monsieur le Maire à vendre ce terrain, au prix de 228 000 euros.

M. GARELLA : Nous avons été contactés par les habitants du quartier du Clapier qui se plaignent quand même encore du bruit mais notamment de l’odeur. Quand ils se sont rendus sur place, l’autorisation préfectorale recommande de mettre une certaine couche de terre entre chaque couche de déchets. Or, à la place de couche de terre, il y a juste un peu de poussière qui est vaguement jetée. Et on leur a expliqué que si on mettait cette couche de terre, c’est en tout cas ce qui a été répondu, si nous avions une personne qui siègerait avec vous, on en saurait un peu plus...

M. MEI : Monsieur Garella, renseignez-vous avant de dire ça... Il y a le gestionnaire de Malespine qui est là.

M. GARELLA : S’il y a le gestionnaire, comme ça il l’entend. Les gens, je vous le dis, ils sont très mécontents : ça sent mauvais, ça fait du bruit, il y a de la poussière... ça ne va pas du tout. Si pour vous tout va bien, vous me le dites, je leur transmettrai.

M. FORTUIT : Je ne peux pas vous laisser dire qu’on ne met pas de terre. Il y a une couverture de 25 cm qui est faite de manière journalière. Cela a été constaté à la fois par les riverains, également par la DREAL, à plusieurs reprises. On ne peut pas dire qu’on ne met pas de terre par-dessus.

M. GARELLA : C’est de ça dont ils parlaient.

M. FORTUIT : Oui, mais c’est fait et constaté par les autorités.

M. MEI : Vous pourrez dire à Madame Frosini que la réponse vous a été donnée.

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