Ville de Gardanne
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On n'a pas fini d'en parler, le clip !
lundi, 15 janvier 2018

Pouvoir réunir plus facilement différentes associations autour d’un même projet et créer des liens entre elles, c’est un peu le but que s’était fixé la Maison de la vie associative. Et c’est ce qu’ont réussi à faire cinq d’entre-elles autour du tournage d’un clip vidéo.

(article paru dans Energies 480 du 10 octobre 2017)

AUTEUR COMPOSITEUR DU GROUPE “SOIT DIT EN PASSANT” (association Culture Provence), Jean-Claude Roger a souhaité tourner un clip d’une de ses chansons issue de l’album Le jour et la nuit sorti en 2015. Un projet ambitieux qu’il tenait à concrétiser. Seulement voilà... par où commencer ? Et c’est bien là que la Maison de la vie associative va jouer pleinement son rôle.

Après une rencontre avec Rosy Inaudi, conseillère départementale et avec Guy Porcedo, adjoint délégué à la vie associative, tout est devenu plus clair. Les compétences, les aides humaines et matérielles, c’est bien ici qu’il va les trouver. « Au départ, c’était la galère ! Et dès notre rencontre à la MVA, le voile s’est levé. Effectivement, que de talents ici ! Sans ces échanges, sans cette volonté partagée et l’engouement commun, ce clip aurait été impossible à réaliser. »

Très vite, quatre associations ont répondu présentes et se sont partagées les tâches, en fonction de leurs savoir faire. Tortutrankil s’occupera du scénario, l’Aparté de la recherche et du management des figurants, M la danse de la chorégraphie et Mon rêve production de la réalisation technique du clip qui durera quatre minutes environ.

Après quelques mois de travail, de nombreux échanges et une grande motivation, l’heure du tournage est enfin arrivée. Autour du titre On n’a pas fini d’en parler, tout s’accélère. Cette chanson parle de mixité, d’amour de son prochain, d’intégration, de joie de vivre ensemble, un thème cher à Gardanne.

Les scènes ont été tournées dans différents lieux de la commune : vieille-ville, puits Z, Fontvenelle, puits Morandat et place Dulcie-September. C’est précisément dans cet endroit que la scène finale du clip a été produite, en compagnie d’une soixantaine de figurants.

En ce dimanche 24 septembre, pendant qu’une scène se tournait dans le centre ancien, Magali reprenait la chorégraphie pour que chacun révise un peu. En quelques minutes, tout a été opérationnel, chacun a pris son rôle très au sérieux et attend désormais impatiemment de voir ce que cela va donner.

PAROLES DE PARTICIPANTS

« Ce fut un bonheur immense de travailler autour de ce projet avec toutes ces personnes talentueuses. Il est bien la preuve qu’ensemble, tout est possible.  »
Jean-Claude Roger, groupe Soit dit en passant.

« On ne se connaissait pas, mais dès qu’on nous a présenté l’idée, on a voulu apporter notre pierre à l’édifice. La musique qui rassemble ça nous a tout de suite parlé. »
Marion Agresti, association l’Aparté.

« Si ce projet a vu le jour, c’est grâce à la MVA. Ça a été un plaisir de travailler avec d’autres associations, des liens se sont créés, on a appris à se connaître, c’est une expérience très enrichissante. »
John Mintoff, association Mon rêve production.

« Le sujet m’a tout de suite interpellée. On a préparé le terrain, proposé une chorégraphie, il fallait qu’elle soit accessible à tous. Quand on voit le résultat, on se dit qu’on a mené à bien un beau projet commun. »
Magali Amore, association M la danse.

« C‘est une grande chance de participer à une aventure comme cellelà. Ce projet était insolite, faire un scénario sur quatre minutes, c’est pas évident. Mais c’est ce qui m’a motivé et on a surmonté ensemble toutes les difficultés. »
Lionel Parrini, association Tortutrankil.


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