N°03 - Approbation du rapport annuel de la Commission Communale pour l’Accessibilité des Personnes Handicapées - Année 2011 Rapporteur M. Touat

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M. TOUAT : Conformément à la loi n° 2005-102 du 11 février 2005 relative à l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, il est proposé au Conseil Municipal d’approuver le rapport annuel de la Commission Communale pour l’Accessibilité des Personnes Handicapées. Ce document a été transmis à tous les conseillers municipaux avec l’envoi de la convocation et de l’ordre du jour du présent Conseil Municipal.

M. MEI : J’aimerais dire que Didier Touat est quelqu’un de très attentif et il est très exigeant sur le respect de ce qui doit se faire, notamment à la gare.

M. TOUAT : Ce matin, j’avais rendez-vous avec des gens de la gare, RFF et SNCF. C’est très compliqué. Nous y arriverons mais cela va être une longue bataille.

M. AMIC : Nous accusons réception de votre rapport mais les actions sont insuffisantes en la matière. Je ne remets en rien le travail de M. Touat. Vous rappelez la loi du 11 février 2005 et vous estimez beaucoup pour peu de réalité. Par exemple, vous notez l’importance de faire des travaux à Fontvenelle pour cause de vétusté et d’inadaptation et puis vous nous dites qu’ils sont reportés à 2012. Par un jeu de couleur, assez joli d’ailleurs, vous nous indiquez dans un tableau final les listes d’actions à mener. Les bleus étant celles qui sont prévues... enfin sur le papier. Sur 51 actions, 3 sont bleues. Quand les couleurs parlent... Désolé de vous le dire mais c’est insuffisant. Je ne sais si vous avez pris l’habitude des mandats sur sept ans mais vous n’allez pas tout pouvoir reporter à 2014 et ensuite nous expliquer qu’il y a la crise, ou l’Etat, ou je ne sais quelle excuse habituelle.

M. TOUAT : Je vous invite, à une date que nous verrons ensemble, à faire le tour de ce qui a été fait ou a commencé à être fait. Tout ne va pas assez vite. Cela coûte énormément cher. Le retard pris sur ce sujet est extrèmement important. Nous ne réglerons pas tout du jour au lendemain.

M. AMIC : J’accepte ton invitation pour ce qui a été fait et je t’invite pour ce qu’il reste à faire.

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